Ba&sh x 125 et après

Le t-shirt « Together », symbole de l’initiative solidaire qui porte l’importance du collectif dans la lutte contre les violences faites aux femmes, est vendu au prix de 65 € dans les boutiques ba&sh afin de soutenir l’association « 125 et après », fondée par Sarah Barukh. Il sera vendu dans l’ensemble des pays européens où la marque ba&sh est présente. Ce modèle est également décliné en quantité très limitée pour les hommes au prix de 75 €.

Les fonds générés par la vente des t-shirts seront utilisés pour renforcer la détection des violences et l’accompagnement des femmes. Ils permettront de financer des projets clés de l’association « 125 et après », notamment la détection des violences intrafamiliales ; la mise en page et diffusion du guide « Comment s’adresser à une proche victime de violences conjugales ? » et le renforcement de la communauté des Veilleuses, un réseau de soutien WhatsApp actif 7/24 pour les victimes de violences.

« Together ce n’est pas juste un mot. Les femmes hésitent des années à partir d’un foyer violent parce qu’elles ont peur de la solitude. Leur dire qu’elles ne sont pas seules, c’est contribuer à leur procurer l’énergie du départ pour une nouvelle vie », explique Sarah Barukh, entrepreneure, écrivaine et fondatrice de « 125 et après ».

Fondé en 2003 par deux entrepreneures, Barbara Boccara et Sharon Krief – lauréates Forbes 30 Under 30 – ba&sh a toujours placé les femmes au cœur de ses préoccupations. La marque soutient l’entrepreneuriat, l’éducation ou encore la santé, et déploie des actions pour rendre le quotidien des femmes plus simple. En 2025, ba&sh lance de nouvelles actions pour aller plus loin dans son engagement et devenir une entreprise « Safe Place » pour ses salariées, à travers un pilier Accompagnement, un pilier Prévention et un pilier Diffusion du message. La maison de textile a également formé ses équipes pour créer des environnements inclusifs dans ses boutiques et sièges. L’entreprise se verra officiellement labellisée « Safe Place » en juin 2025.

Article paru le 6 mars 2025 dans le magazine Forbes - Gaëlle Ménage -

Journaliste